Accompagnement
Liste des services :
Accompagnement à la vie quotidienne
Accompagnement au numérique
Insertion sociale
Accompagnement Socio-Professionnel
- Accompagnement à partir de 18 ans
- Accompagnement à domicile et/ou dans un lieu convivial (Café, parc…)
- Accompagnement sur l’Eurométropole de Strasbourg et développement d’antennes de l’association dans les villes de Sélestat, Haguenau et Saverne.
- Equipe de terrain composée de 8 pairs-aidants (3 salariés et 5 bénévoles) et d’un coordinateur salarié.
- Les pairs-aidants suivent régulièrement des formations sur diverses thématiques liées à la santé mentale.
- Accompagnement sur-mesure en fonction des besoins et envie des bénéficiaires, sans limite de durée (Contrat d’accompagnement établi entre le bénéficiaire et l’association)
- Objectif : Aller vers le rétablissement et l’autonomie.
Témoignages
J’ai connu Jeff par l’association « Un chez soi d’abord ». J’en suis très satisfait. Au départ, je recevais la visite de deux dames, bientôt remplacées par deux messieurs.
Sur la demande du coordinateur des pairs-aidants, on m’a attribué 3h hebdomadaires de ménage à domicile.
L’association a été très efficace dans la qualité de vie au quotidien, en particulier concernant les courses. Le contact social revêt une grande importance dans mon accompagnement.
Mon bénévolat,
Diminuée par mon trouble, incapable de revenir vers mon ancien métier de secrétaire et surtout de mon ancienne vie… J’ai essayé de remonter la pente toute seule, c’était long, c’était noir, je n’y suis pas arrivée.
La vie a fait que ma famille a déménagé à Strasbourg (ville d’origine). J’ai rencontré un nouveau psychiatre, quelqu’un qui m’a écouté, qui a su me conseiller, me guider. 2020 est arrivé, j’ai dû apprendre à patienter, accepter ma situation… ma maladie. La MDPH a accepté mon dossier, le SIMOT m’a prise en charge, mon travail avec cette structure a éclairci ma vie, mon idée sur le travail. J’ai appris que je n’étais plus seule, qu’à 54 ans on peut encore apprendre, qu’on n’est pas une maladie.
Mon métier de secrétaire ou assistante me plaisait. J’aime chercher des solutions. Dans mes entreprises, je faisais cela pour mon patron, pour son CA. La communication avec mes clients, avec tous les intervenants de l’entreprise me nourrissait. Il me manquait la partie « l’humain» dans tous ses états. Mon trouble ne me permettait pas d’aller vers un métier du social ou du médical. J’étais trop à fleur de peau et sensible, trop trop sensible. Mon traitement m’a stabilisée depuis 4 ans. Je ne suis pas devenue insensible, loin de là, je gère beaucoup mieux mes émotions et laisse glisser les agressions de la vie.
Le bénévolat me permet d’aider d’autres personnes qui n’arrivent pas encore à gérer leur vie, à se réorganiser à apprendre à revivre… La pair-aidance est un moyen d’aider l’autre et lorsque notre accompagnement est réussi et compris, la lumière des yeux des adhérents c’est extraordinaire et motivant.
Si la vie me le permet, mon nouveau métier sera : pair-aidant.